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Consenvoye, village de Meuse, occupé par une association terroriste

  • Photo du rédacteur: Bonberger phyl
    Bonberger phyl
  • 7 mars
  • 22 min de lecture

Dernière mise à jour : 1 juin


De gche à dte : Mme NORVEZ, M. HUSSENET, M. DIDIOT, M. FORGET, M. DORMOIS, M. TRAILIN,

M. MARTIN, M. BALON, Mme GILLET, M. BIENAIME


Historique de l'occupation du village

Transformations du conseil municipal en association de malfaiteurs, criminels, terroristes.

Le 04 janvier 2016, j'emménage dans la commune de Consenvoye. Pendant deux ans et demi, des administrés, anciens conseillers, employés municipaux, m'informent de leurs maux, leurs tourments et préjudices subi. M. DORMOIS et les élus de la commune sont clairement désignés "auteurs". Entièrement fondés sur leurs témoignages, suit les transcriptions des faits.

Premier mandat de M. DORMOIS, 2008-2014

M. Dormois devient maire et sa liste prend leur premier pouvoir municipal, en la commune de Consenvoye, de 2008 à 2014. Pendant ce mandat, trois élus expriment leurs réprobations face à la gestion de M. DORMOIS et à sa probité douteuse. Ils seront éconduits. Une quantité grandissante d’administrés expriment des griefs à l’encontre du maire et des élus. (Eau potable – Dépenses publiques – Conflits d’intérêts – Corruptions – Relationnel délétère – Opacités documents administratifs et comptes publics – Refus de communiquer)

Deuxième mandat de M. DORMOIS, 2014-2020

M. Dormois est réélu, de 2014 à 2020, avec la même équipe et le remplacement des trois élus réprobateurs, continue son favoritisme envers le Conseiller/Entrepreneur M. MARTIN. Les travaux de la commune lui sont confiés et une grande majorité des travaux d’appels d’offres. (Travaux : fontaine - église- agrandissement superette - autres).

Le nombre de griefs d’administrés augmente, les conflits augmentent. Les employés communaux se plaignent. Les administrés se plaignent d’insultes, d’intimidations du maire et des élus, en réponses à leurs doléances. Le sujet de l’eau potable révèle les caractères despotiques et autoritaristes du maire. Les élus sont sous l’emprise du maire et certains sont complétement soumis et solidaires des malveillances du maire. Les saisines des autorités préfectorales, judiciaires et ministérielles révèlent de très graves dysfonctionnements. La transformation, du conseil municipal en association de malfaiteurs par M. DORMOIS, devient évidente, effective.

Troisième mandat de M. DORMOIS, 2020-2026

M. Dormois est réélu, de 2020 à 2026. Le sujet de l’eau potable explose mi-juillet 2021. Les dysfonctionnements des autorités préfectorales et judiciaires prennent la voie de commissions de crimes et délits (corruption de fonctionnaire – mise en danger de la vie d’autrui – détournements de pouvoirs, de fonds et moyens publics – détournements de correspondance – atteintes aux Droits fondamentaux – recels de preuves - dénis de justice - discriminations, etc).

M. Bonnenberger, agissant en qualité de Lanceur d’alerte, de témoin, de représentant du collectif de victimes de Consenvoye, est perçu et devient un élément perturbateur. Il devient impératif de le bâillonner, de censurer les témoins et les victimes. Les comportements de M. DORMOIS révèlent leurs caractères délictuels de corruptions, de trafics d’influences, d’intimidations, de menaces à l’encontre d’administrés et témoins. L’empirisme de la situation atteint un dangereux paroxysme. L’association de malfaiteurs, dirigée par M. DORMOIS, prend rapidement la forme d’entreprise criminelle et à caractère terroriste, avec les soutiens inconditionnels des autorités préfectorales et judiciaires.  

 

Dossier construction d’un Lotissement

Pour favoriser des familles d’élus et de leurs amis, M. DORMOIS organise un projet de construction d’un lotissement. La règlementation du PLU ne permet pas de construire en périphérie de la commune. Il est privilégié les terrains intra-muros. Mais l’emplacement géographique intra-muros, du lotissement, ne convient pas aux futurs acquéreurs. M. DORMOIS fait usage de trafic d’influence pour détourner les premiers refus préfectoraux parisiens. La mairie décide d’achète un terrain agricole, en périphérie de la commune, qui devient constructible. Avec l’aide des préfets locaux, le projet de lotissement est approuvé en zone périphérique de la commune. Malgré les contestations de certains conseillers, M. DORMOIS prend de l’assurance et son autorité devient rapidement concentré et personnifié. Le pouvoir de M. DORMOIS prend la forme d’un despotisme vers une autocratie inquiétante.

Une plainte a été déposée au TJ de Verdun, restée sans suite jusqu’à ce jour.

 

Favoritisme économique – Prises illégales d’intérêts

M. Dormois favorise M. MARTIN entrepreneur/conseiller municipal. Son entreprise est principalement requise pour un grand nombre de travaux de la commune. En 2013, l’entreprise de M. MARTIN est en redressement judiciaire, pour difficultés financières. Puis l’entreprise MARTIN remporte pratiquement tous les appels d’offres de marché public. Des conseillers contestent les procédures d’appel d’offre pour les marchés publics. L’adjoint M. DIDIOT présente les autres devis à M. MARTIN. Sur décision de M. DORMOIS, l’entreprise SME à Stenay, spécialiste en plomberie, chauffage, remplace l’ancienne entreprise. Pratiquement tous les travaux de la commune, liées à la plomberie et au chauffage, lui sont confiés. L’entreprise SME est composée des frères FORGET, dont le père est conseiller municipal et sa belle-fille adjoint au maire. Les conseillers contestataires sont invités à démissionner. Les administrés contestataires sont insultés et intimidés. Ayant dénoncé ces faits et demandé des explications auprès du conseil municipal, il m’a été opposé des refus et obstructions systémiques à toutes mes demandes. En début de la troisième mandature, M. MARTIN ne remporte plus de marché public. Les relations entre M. DORMOIS et M. MARTIN deviennent conflictuelles. M. MARTIN rompt toutes relations avec le maire et le conseil et décide de ne plus assister aux réunions du conseil. Il est précisé que des élus se sont aperçus de surfacturation, de l’entreprise MARTIN, longtemps après. Ayant dénoncé ces faits, M. MARTIN démissionne.

Un dossier de plaintes a été remis au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 

Employés communaux – Conditions de maltraitances, d’esclavages

2016, M. HOLLANDE et Mme MERKEL doivent venir à Consenvoye, devant le cimetière de soldats Allemands. Les employés communaux sont fortement mis à contribution. M. DORMOIS décide de ne pas rétribuer des heures supplémentaires de travail. Par contrainte, un employé communal reçoit, en toute illégalité, un bon d’essence pour paiement de ses 60 heures supplémentaires. Pendant plus de deux ans, les heures supplémentaires s’accumulent sans être payées. Les employés communaux se plaignent des conditions de travail, des dégradations par manque d’entretien des matériels, tondeuses, camionnettes. Leur local de repos est insalubre et indigne. Des menaces explicites sont exercées par M. DORMOIS, envers des employés communaux. Il est interdit de laisser M. Bonnenberger prendre des photos du local de repos, il est interdit de lui parler, de le recevoir, d’aller chez lui, sous peine de licenciement. Un dossier, conséquent, de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

Un employé communal refuse de signer la prolongation de son contrat de travail avec la mairie. L’employé communal explique les conditions de travail intolérables. M. DORMOIS insiste mais l’employé communal quitte la mairie. M. DORMOIS téléphone à Pôle Emploi et demande à la conseillère de l’employé communal d’intervenir. La conseillère Mme LALLEMENT téléphone à l’employé communal, l’informe que s’il ne signe pas la reconduction du contrat de travail avec M. DORMOIS, son aide au permis de conduire lui sera supprimé. Au-devant ce chantage, l’employé communal signe par contrainte le contrat de travail. M. DORMOIS impose sa volonté, par extorsion de signature et corruption de fonctionnaire.

Un dossier, conséquent, de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour. 

Un autre employé communal présente des handicaps de la hanche et de l’épaule. M. DORMOIS s’est engagé par courrier, à ne pas exécuter des travaux de forces envers cet employé. Or, cet employé dénonce qu’il a été employé à des travaux de forces, pendant des années (travaux voie publique, réfections trottoirs, terrassements, débroussaillages, coupes d’arbres). Il dénonce, comme d’autres, les absences de tenues de protections, les conditions délétères de travail, le mauvais entretien du matériel technique, les imprudences et négligences du maire et des élus. Cet employé communal est obligé de fournir de gros efforts physiques, lors des travaux devant l’auberge. Il m’informe des faits (description des faits dans le dossier : travaux terrasse/trottoir auberge).

Cet employé a témoigné et constitué un dossier conséquent, des plaintes sont déposées aux autorités judiciaires de Verdun, restées sans suite jusqu’à ce jour.

Local de repos des employés communaux

Travaux  « trottoir/terrasse de l’auberge » – Illégalités – violences

M. A, employé communal, m’informe qu’il travail durement, avec marteau piqueur, barre à mine et qu’ils effectuent des travaux de terrassement, devant l’auberge, sans l’affichage de l’arrêté de voirie et sans autorisation administrative. Il ne peut exprimer son désaccord, à M. le maire qui brandi la menace constante de licenciement, comme seule réponse. Le 1er mars, je me rends devant l’auberge près des travaux.  Je demande pourquoi il n’y a pas d’affichage de l’arrêté de voirie. M. le maire refuse de me répondre, « je n’ai rien à vous dire ». Il me bouscule, prétendant que je le gêne. Pendant un quart d’heure, il prend des mesures du chantier et dessine des plans et croquis du chantier. Le chantier a commencé depuis fin janvier 2019. L’adjoint au maire, M. DIDIOT me répond par gestes grossiers, provocants. J’appelle le 17 et deux gendarmes de Stenay arrivent. Je leurs explique les faits de bousculades du maire sur ma personne. J’informe du litige de non-affichage de l’arrêté des travaux, qu’ils doivent cesser les travaux, que la zone de chantier présente des risques de dangers (tôles, ferrailles en masses, zone non sécurisée et non protégée devant une auberge ouverte, avec passage de clientèle). Les gendarmes s’entretiennent à part avec le maire. Puis ils reviennent vers moi, me répondent que le maire a l’autorisation (san vérifier et sans avoir vu l’arrêté puisqu’il n’existe pas, que M. DORMOIS n'a pas encore déposé de demande et donc n’a pas encore d’autorisation officielle) puis ils m’informent que si je ne suis pas d’accord, les élections municipales sont pour bientôt, l’année prochaine. Puis les gendarmes repartent sans aucune action, sans suite.

M. le maire n’a pas d’autorisation officielle pour effectuer les travaux.  Il finalise les plans et le projet (trottoir/terrasse auberge), avec l’aide des l’employés communaux, Mss. A et B. Mais les travaux de terrassements sont en cours depuis plus d’un mois, il fait travailler illégalement les employés communaux. La commune et les responsabilités du maire, des élus sont engagés. M. A aura un arrêt de travail, à la suite de ses travaux de forces. M. A étant handicapé, M. le maire a signifié, par écrit, qu’il n’engagera pas M. A pour effectuer des travaux de forces. Or à de nombreuses reprises, sur ordre de M. le maire et des adjoints, M. A a effectué des travaux de forces. Par ma voix et avec son accord, une plainte a été déposée, avec le témoignage, des documents édifiants avec éléments de preuves de M. A. Je précise que M. A avait rédigé une plainte, qui s’est transformée en témoignage par peur de représailles du maire et sur insistances de son épouse, qui craignait des menaces et autres préjudices envers son mari, par M. le maire. M. le procureur DUPONT a classé cette plainte sans suite, par prises illégales d’intérêts en faveur des intérêts particuliers de son ami DORMOIS, aux détriments des victimes et de l’intérêt général de la commune.

Une plainte avec constitution de partie civile, a été enregistré avec récépissé, cette plainte est volontairement mise en sommeil, comme toutes les autres plaintes de partie civile, soit une quarantaine. 

Le 11 mars 2019, je suis le seul auditeur de la séance du conseil municipal. En début de séance, M. MARTIN conseiller/entrepreneur montre à M. DORMOIS un document. Il signale et présente un problème sur ce document et s’exprime par des « Hum, là, là là, hum, hum », afin que je ne puisse comprendre. M. DORMOIS répond qu’il n’y a pas de problème puisqu’il a l’accord. Il ordonne de continuer les travaux en chargeant les adjoints, DIDIOT et HUSSENET de continuer les travaux demain matin vers 8h 00. J’apprendrai, plus tard, que le document présenté par M. MARTIN à M. DORMOIS est l’accord premier d’arrêté de voirie des travaux de la terrasse/trottoir devant l’auberge, qui date du 06 mars, suite à la demande du maire le 05 mars. Ce document comportait une erreur d’adresse du lieu-dit des travaux et par conséquent était invalide. Ainsi, n’ayant aucune autorisation, n’ayant pas déposé de demande d’accord de travaux, M. ORMOIS a fait des fausses déclarations auprès des gendarmes survenus le 1er mars. Ayant déposé plainte pour tous ces faits, M. DORMOIS, toute l’équipe municipale, la secrétaire de mairie ont refusé de m’adresser une copie de ces deux arrêtés servant comme éléments de preuves.  Mme DEZA, responsable de l’ ADA, a refusé également de me fournir la copie du premier arrêté, comportant l’erreur, et sur mon insistance l’a détruit.


M. Didiot m'arrache mon portable


Le 12 mars, je décide de me rendre sur le chantier, devant l’auberge. Je filme, avec mon téléphone portable, les travaux, les attitudes provocatrices de M. DIDIOT. Dans un geste violent, il me l’arrache des mains et tente de le fracasser au sol. Dans son geste très violent et furieux, je reçois un coup au côté gauche du ventre. Puis il prend une pelle, fait un geste de me donner un coup au visage et au dernier moment contourne ma tête. À la suite de ces violences, du non-affichage de l’arrêté de voirie, je fais appel au 17. Les interventions des gendarmes sont décrites dans le dossier : Des implications délictuelles des gendarmes de Stenay et de Dun/Meuse.

Un dossier, conséquent, de plaintes a été remis au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

Les restrictions médicales de condition de travail sont clairement définies pour l'employeur de l'employé communal

L'affirmation écrite de M. Dormois est mensongère. Consulter le dossier témoignages, ci-dessous.


L'employé communal utilise un marteau piqueur non-violent !!! Ils n'ont pas de tenue de protection, de sécurité !!!


Travaux usoirs – Abus de faiblesse sur personne vulnérable – gaspillage argent public

M. le maire estime que l’entretien des usoirs coûtent trop en temps d’employés communaux. Il décide de confier les travaux à une entreprise. Les parties végétales seront remplacées par des cailloutis. Les trottoirs seront goudronnés, une allée du seuil des habitations jusqu’au trottoir sera aussi goudronnée. L’allée goudronnée sera à la charge des administrés concernés. M. le maire établis des devis auprès de ces administrés. Mais les travaux commencent alors qu’un tiers d’administré n’a pas donné son accord au devis et ont refusé de payer les travaux. Après achèvement des travaux des usoirs, côté impair de la Petite rue, il est constaté des défauts importants. La canalisation d’égout, au 9 Petite rue est brisée. Alors que les réparations sont à la charge de la mairie, M. le maire oblige l’administré d’entreprendre les travaux. L’administré, âgé de 70 ans s’exécute, sous la contrainte. Son épouse étant employé communal, l’administré ne peut refuser par peur que son épouse soit licenciée. Ainsi, il creuse un trou profond pour accéder à la canalisation. Etant témoin des faits, j’informe l’administré que ces travaux sont à la charge de la mairie. La peur est plus grande que le Droit. Etant de passage, je suis témoin de l’arrivée de M. DORMOIS. Le maire invective l’administré âgé et lui demande de baliser le trou, que c’est dangereux. L’administré s’exécute en silence. Il est inconcevable de protester, la soumission est de fait et obligatoire.

Assez rapidement des poussées de végétaux apparaissent, les cailloutis sont vite recouverts de végétaux. L’entreprise n’a pas creusé assez profondément et n’a pas posé de film géotextile. La mairie est obligée de demander aux employés communaux de tondre à nouveau. Puis M. le maire rédige un arrêté municipal, contraignant les administrés qui utilisent ces usoirs de les entretenir. Sans effet, la mairie est obligée d’entretenir ces cailloutis herbeux.

Plainte déposée au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 

Eau potable – Mises en danger des consommateurs par négligences et imprudences, en continu

Des administrés expriment leurs inquiétudes quant à l’eau potable, depuis plusieurs années. Un surdosage de chlore est ressenti, des problèmes de fuites et de conduites sont des problèmes récurrents. Les employés communaux expriment leurs très grandes inquiétudes quant à l’entretien du réceptacle et des nombreuses défaillances du système de chloration. Il est constaté par les employés communaux, des pénuries de stock de chlore, des versements abusifs de chlore par M. DIDIOT, des interruptions de chlorations, de nombreuses défaillances du système énergétique de chloration, des négligences et imprudences sous les responsabilités du maire. Malgré des analyses non-conformes, des eaux non-buvables, des surdosages de chlore, des absences de chlore, malgré les avertissements des employés communaux adressés au maire et M. DIDIOT adjoint responsable de l’eau, aucune amélioration n’a été prise en compte de 2014 jusqu’à fin 2018. Les inquiétudes des administrés grandissent et les attitudes du maire et du conseil ne font qu’inquiéter davantage.

Mi 2018, je demande au maire des explications sur l’état boueuse de l’eau du robinet et son surdosage de chlore. M. DORMOIS me répond par grossièretés et réponses fantaisistes. Malgré mes demandes de réunions de travail, de réunion avec les habitants, concernant ce sujet, M. le maire refuse sous prétexte « Je n’ai pas que ça à faire ». Après réceptions de mes demandes d’explications, par courriels, le maire me répond « que les privilèges étant abolis, depuis 1789, je ne vois pas pourquoi je vous informerai personnellement ». Ensuite, le maire écrit, dans le bulletin communal, qu’un administré qui pose des questions, sur l’eau potable, « a l’imagination délirante », « qu’il tente de manipuler » les habitants de la commune. Le maire et les élus refusent mon droit de réponse et refusent de corriger les allégations mensongères. Nous constatons le déni, le manque de responsabilité du maire et des élus, de son inquiétante politique concernant un sujet aussi primordial que l’eau potable. C’est à la suite des courriers et courriels de M. Bonnenberger, adressé au préfet en fin 2018, que l’ARS révèle la défaillance et l’obsolescence du système énergétique de chloration. Faisant suite aux alertes de M. Bonnenberger, M. DIDIOT a décidé qu’il assurera la gestion de la chloration, sans faire appel aux employés communaux afin qu’il n’y ait plus aucun témoin hors les élus. De 2018 jusqu’à ce jour, M. Dormois et le conseil municipal, ont refusé et refusent de communiquer toutes les pièces administratives, concernant l’eau potable (analyses laboratoires, factures des produits chlorés et additifs, état du réseau de canalisation, état des dysfonctionnements, contrat de fourniture d’eau, etc).

Des plaintes ont été déposées, aux TJ de Verdun et de Val de Briey, restées sans suite jusqu’à ce jour. Des plaintes avec constitution de partie civiles sont enregistrées à l’instruction du TJ de Verdun, restées sans nouvelle depuis fin 2020 jusqu’à ce jour. D’autres plaintes avec constitution de partie civile ont été déposées à l’instruction des TJ de Verdun et de Val de Briey. L’instruction de Verdun ne les a pas enregistrées de fin 2020 jusqu’à ce jour. Celles de Val de Briey sont en attente jusqu’à ce jour.


Ayant demandé au maire des explications sur l'eau boueuse au sortir du robinet, les surdosages

de chlore, les contaminations bactériologiques et l'état des canalisations, voici sa réponse.


La situation devient empirique en 2021.

Malgré les nombreuses plaintes simples et plaintes avec constitution de partie civile, il n’y a aucune suite par les autorités judiciaires. En juin/juillet 2021 des signes de contaminations bactériennes de l’eau potable, apparaissent. Des administrés relatent des troubles intestinaux, des diarrhées. Des enfants sont malades. Des animaux de compagnie présentent eux aussi ces mêmes troubles. Au-devant l’amplification de ces troubles sur des administrés, j’interviens auprès de la mairie. Je demande d’informer les consommateurs d’eau potable de privilégier l’eau en bouteille, à cause de suspicions de contaminations. La maire reçoit un communiqué de l’ARS les informant d’eau non-buvable, à la suite des contaminations bactériennes. Puisqu’il est refusé de tenir une réunion publique, sur ce sujet, par le maire et le conseil municipal, J’entreprends de rédiger un historique au sujet de l’eau potable, d’informer les administrés, les gens du camping. À la suite de mon porte-à-porte, je recueille les témoignages verbaux et écrits des administrés. Beaucoup d’administrés craignent de témoigner, par peur du pouvoir menaçant du maire. Malgré cette peur, des administrés témoignent. Nous apprenons que M. DIDIOT intervient au réceptacle, par manœuvres frauduleuses, afin de pervertir les résultats d’analyses. Cette manœuvre sera détectée plus tard, lors des analyses privées pendant deux mois. Je suis surveillé par M. DORMOIS par les caméras de surveillances. Je suis suivi au camping, par des rondes de voiture avec M. DIDIOT et DORMOIS. M. DORMOIS est averti de mes démarches, il intervient directement auprès d’administrés par intimidations, menaces. Il leurs interdit de recevoir M. Bonnenberger, leurs interdit de me rencontrer, d’aller chez moi. Des élus et la secrétaire de mairie Mme BEYER agissent pour discréditer M. Bonnenberger, auprès d’administrés qui demandent des explications. Au-devant ces faits, je distribue l’historique dans les boites à lettres des administrés, j’informe l’Est Républicain qui rédige l’article « Querelle autour de l’eau ». Hors de contrôle, M. DORMOIS est allé insulter des administrés, avec menaces et subornations de témoins. La situation devenant extrêmement délétère et agressive, je suis contraint de stopper mes démarches, de recueillir les témoignages des administrés. Faisant suite à ces graves évènements, j’entreprends de faire analyser l’eau potable par un laboratoire privé, j’entreprends d’analyser l’eau chez moi et plusieurs administrés. En présence d’administrés témoins, toutes les procédures d’analyses de l’eau au sortir du robinet sont filmées et/ou photographiées. Sur une amplitude de deux mois, deux fois par jour, les analyses révèlent des surdosages excessifs de chlore, des absences de chlore.

Un dossier de plaintes, accompagné de témoignages, d’éléments de preuves, a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.


Des obstructions à la manifestation de la vérité – Des rétention, des recels de preuves

Depuis fin 2018 jusqu’à ce jour, nous avons demandé de consulter et/ou de recevoir des copies de documents administratifs de la mairie. Malgré les avis favorables de la CADA, malgré nos demandes légales et légitimes, nous n’avons reçu que des refus systémiques du maire, du conseil municipal et de la secrétaire. M. DORMOIS m’a verbalement confirmé, en mairie, « Je ne vous donnerai rien – Vous n’aurez rien ». Nous avons demandé des réunions, des RdV, qui ont été refusé. Les sujets de l’eau potable, des appels d’offres de marchés publics, de favoritisme, d’affouage, de corruptions et autres sont simplement ignorés. Au-devant nos insistances, le maire a décidé d’user d’intimidations, de menaces et autres comportements délictuels, avec les complicités de la secrétaire et des autres élus. (faits décrits : Menaces, intimidations, subornations de témoins – détournements images caméras de surveillance). Ayant alerté les élus et la secrétaire de maire, d’une situation extrêmement délétère, des nombreuses commissions de crimes et délits du maire, personne n’a entrepris, ni envisager d’entendre les fondements, les arguments sur ces accusations. Les élus montrent une insolvabilité à l’écoute démocratique. Les dénis deviennent leur valeur primordiale. Aucune intention de rétablir l’ordre républicain n’est et ne sera jamais à l’ordre du jour. Pour le maire, les élus, la secrétaire, il devenait impératif et primordial d’éliminer ce grain de sable, ce lanceur d’alerte.

Un dossier de plaintes, concernant ces obstructions et recels, a été déposé au TJ de Verdun, resté sans nouvelle jusqu’à ce jour.

 

De l’abus de pouvoir – Des tentatives de manipulation

Personne ne se présente à la candidature d’agent recenseur. La mairie me demande de l’aider et je deviens agent recenseur, fin 2017 – début 2018. Faisant la tournée de la commune, j’ai remarqué une triste solitude des personnes âgées, des conditions de misère et de grandes difficultés d’administrés. En fin de recensement, M. le maire intervient directement sur les fiches individuelles d’habitants. Pour grossir artificiellement le nombre d’habitants, M. le maire demande au secrétaire de mairie/coordonnateur du recensement de faire modifier des fiches en ajoutant des personnes en plus. Le secrétaire exécute illégalement. Exemples : Un fils, habitant Verdun, vient souvent voir sa mère à Consenvoye, comme il vient souvent, le maire décide qu’il est un habitant de Consenvoye et fait modifier la fiche de recensement. Une mère de famille, de Consenvoye, a un compagnon militaire logé à Mourmelon. Comme il vient souvent, M. le maire décide qu’il est un habitant de Consenvoye, même si son domicile est ailleurs. Par ces simples faits, nous constatons le pouvoir et l’emprise inquiétante du maire.

Une plainte a été déposée au TJ de Verdun, restée sans suite, jusqu’à ce jour.

 

Une extension des conflits

Des administrés se plaignent des promesses non tenues par M. DORMOIS. Une grande partie des logements communaux ne sont pas aux normes. L’un est insalubre, mais il est loué sans politique de travaux. Alors que le logement communal, attribué à l’élu M. TRAILIN, bénéficie de rénovations et d’améliorations. Des administrés se plaignent d’insultes, d’autoritarisme, de menaces et représailles par M. DORMOIS. Des employés communaux se plaignant des conditions de travail irrespectueuses, d’un local de repos indigne, de retards et/ou dérives des heures supplémentaires, d’absence de tenues de protections, d’exploitations abusives d’un autre âge. Le manque de réparations et entretiens des machines-outils, des véhicules à moteurs. Lorsqu’ils expriment leurs doléances le maire et les élus répondent par l’insulte, les menaces de licenciements.

Un dossier de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

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Favoritisme, intimidations – Logement communaux

M. TRAILIN, conseiller municipal, bénéficiant d’un logement communal, se sépare de sa compagne. Le logement communal est transmis à sa compagne. Mais M. TRAILIN, avec sa nouvelle compagne, use de sa loyauté auprès du maire pour récupérer le logement communal. Une administrée, avec un enfant, pose sa candidature pour ce logement communal. Elle est reçue par la secrétaire et M. DORMOIS qui l’informe qu’il préfère louer à une famille avec enfant. L’administrée est heureuse d’entrevoir un avenir meilleur, assurée du soutien du maire. L’administrée, candidate au logement, amie de l’ancienne compagne de M. TRAILIN , apprend que M. le maire est venu expressément lui demander de quitter le logement au plus vite. Il menace d’intervenir auprès de son employeur, qu’elle perdra son emploi. Au-devant ces menaces et intimidations, l’ancienne épouse de M. TRAILIN quitte le logement et la commune. Puis l’administrée candidate au logement, apprend que lors d’une réunion du Conseil municipal, M. DORMOIS attribue d’office le logement à M. TRAILIN, précisant au Conseil qu’il n’y a pas d’autre candidat. Elle contacte M. DIDIOT, l’informe des faits, du mensonge du maire. M. DIDIOT l’informe qu’il était ignorant de sa candidature et qu’il va intervenir pour reconsidérer l’attribution du logement. Rien n’a été fait. L’administrée a quitté la commune. M. TRAILIN a été récompensé de sa loyauté envers M. DORMOIS et continue de bénéficier du logement communal. Concernant les logements communaux, M. le maire a prodigué des traitements de faveurs envers des conseillers/élus, des amis, aux détriments d’autres administrés locataires.

Un dossier de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 

Auberge – Conflits

L’aubergiste subi des préjudices par le maire et la complicité des élus. Au-devant les promesses non-tenues, les menace et les représailles du maire, le couple est contraint de quitter la commune. Un nouvel aubergiste prend la succession et rapidement est confronté avec le maire, les élus et reçois les mêmes menaces. M. le maire interdit à tous les élus de ne plus venir à l’auberge, portant préjudices à son développement économique. Un article est paru dans l’Est Républicain (Coup de froid entre aubergistes et maire, du 26/01/2017 – site internet : https://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2017/01/26/coup-de-froid-entre-aubergistes-et-maire). Par dépits, le couple d’aubergiste est obligé de quitter la commune. Le nouvel aubergiste est confronté aux mêmes attitudes du maire et des élus.

Un dossier de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 

Exploitations de personnes handicapées – Abus de pouvoir

A la suite du décès de M. GAVROIS, beau-père de M. DORMOIS, ce dernier envisage d’acheter le bien familial via les fonds de la mairie. Il envisage de transformer ce domaine en lieux d’associations de la commune. Puis ce projet est abandonné. Ayant besoin de mains pour débarrasser ce domaine privé, M. DORMOIS fait appel à une famille d’administrés, dont deux enfants sont des adultes handicapés. Sans légitimité et sans légalité, M. DORMOIS utilise les quatre membres de cette famille pour des travaux de débarras, de son bien familial, pendant quatre jours. Sans aucune rémunération, sans rétribution à minima, dans des conditions abusives, un des frères handicapés témoigne des faits.

Un dossier de plainte est déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 Après avoir débarrassé le bien familial, le domaine est vendu au jeune couple PISKORSKI/DIDIOT. Pour remercier cette transaction privée, M. DORMOIS autorise l’entreprise PISKORSKI d’exploiter une parcelle boisée de la commune de Consenvoye. Alors que les travaux d’exploitations ont commencé, depuis plusieurs mois, M. DORMOIS décide de régulariser l’exploitation en séance du conseil municipal, à postériori. Les élus signent par contraintes cet état de fait. Malgré des protestations d’élus, les faits sont vite oubliés.

Il est précisé que cet administré handicapé a reçu des intimidations de la part du maire, lorsqu’il a demandé, en toute légalité, avec d’autres administrés, des copies de documents administratifs de la commune.

Une plainte a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.



      M. DORMOIS Mme BEYER

Vols et détournements de correspondance par le maire et la secrétaire de mairie

Au cours du dernier trimestre 2018, je suis surpris du silence des élus à mes courriels et courriers. J’apprends que Mme BEYER, secrétaire de mairie, a reçu ordre du maire, de lui communiquer tous mes courriels et courriers, même ceux adressés aux élus. La secrétaire exécute, avec un zèle particulier, n’informe pas les élus de mes courriers. Puis M. DIDIOT vient confirmer qu’il est interdit d’écrire aux élus, « Tout doit passer par M. Dormois ». Quelques jours plus tard, je rencontre M. le maire au secrétariat et lui exprime mes inquiétudes du comportement de la secrétaire face au détournement de mes courriers. M. Dormois me répond que « Mme Beyer est ma secrétaire, elle obéie à mes ordres et fait tout ce que je lui demande ». Je réponds que c’est la secrétaire de mairie et non la secrétaire particulière et attitrée du maire. Que l’intérêt général de la commune est prioritaire. Quant à mes demandes d’explications et de copies de pièces administratives, M. DORMOIS m’informe « je ne vous donnerai rien, rien, c’est comme ça ». Ainsi les détournements de mes correspondances ont duré de fin 2018 jusqu’à fin 2021. Ayant informé des élus de cet état de fait, ne pouvant prendre connaissance de mes courriers, je les ai informés de leurs contenus. Mais aucun n’a exprimer d’inquiétude, restant solidaires inconditionnels du maire.

Un dossier de plaintes a été déposé au TJ de Verdun, resté sans suite jusqu’à ce jour.

 

Utilisations des caméras de surveillance – Chantage, Abus de pouvoir

M. le maire utilise les images des caméras de surveillance de la commune pour exercer des intimidations et chantages sur des administrés. Un administré n’a pas respecté le stop, devant la mairie. Le maire demande à cet administré d’enlever son véhicule garé sur le trottoir, sinon il montre la vidéo de non-respect du stop aux gendarmes. L’administré enlève son véhicule. Le maire utilise les vidéos pour contrôler les déplacements de M. Bonnenberger, chez qui il se rend, qui vient chez lui. Des administrés recevant et allant chez M. Bonnenberger, sont apostrophés par le maire qui leur ordonne de ne plus le recevoir, de ne plus aller chez lui. Le maire exerce des pressions sur des administrés qui conversent avec M. Bonnenberger sur la voie publique. Ils leurs demandent les sujets et contenus des conversations, ce qu’il fait et leurs interdit de le fréquenter.

Des plaintes ont été déposées au TJ de Verdun, restées sans suite jusqu’à ce jour.


Des implications délictuelles des gendarmes de Stenay et de Dun/Meuse.

Faisant suite à mon appel au 17, lors des travaux de terrassement devant l’auberge, deux gendarmes de Stenay sont venus sur place. Nous sommes en situation de flagrances : Depuis plus d’un mois, le maire exécute des travaux de terrassement sans autorisation administrative, sans arrêté de voirie affiché. Des employés municipaux, dont un handicapé, travaillent illicitement sans tenue de travail de sécurité. Le 1er mars 2019, étant sur place, le maire prend des mesures pour finaliser son plan de travaux. Le maire affirme à un gendarme qu’il a l’autorisation. Sans vérifier, sans demander de contrôler l’arrêté de voirie, sans contrôler les conditions de travail des employés communaux, les gendarmes décident de repartir. Ils m’informent que si je ne suis pas d’accord « les élections municipales sont dans un an, il faut patienter ». Pourtant l’arrêté de voirie n’existe pas, puisqu’il sera indiqué que la demande de la mairie date du 05 mars et sera accordé le 06 mars. Par ces graves manquements, les gendarmes confortent le maire à continuer ses comportements délictuels. Les conditions de travail des employés communaux ne s’améliorent pas et l’employé handicapé effectue des travaux de force alors qu’il en est dispensé.

J’ai déposé plainte au TJ de Verdun, restée sans suite jusqu’à ce jour.

Le 12 mars, lors de la deuxième intervention des gendarmes, concernant les mêmes travaux, il est constaté les mêmes manquements graves. En effet, suites aux comportements violents de l’adjoint DIDIOT, les deux gendarmes viennent à mon domicile. Sans me laisser expliquer les faits, les gendarmes m’invectivent par de nombreuses questions « pourquoi vous filmez, c’est interdit…pourquoi faire…Vous êtes qui…Vous êtes inspecteur du travail ». Lorsque je tente d’expliquer le gendarme réplique « Vous êtes qui…vous vous occupez de quoi…avec quel mandat…Vous n’avez qu’à vous présenter aux élections ». Le gendarme m’informe que je peux récupérer mon téléphone à l’auberge, qu’ils sont déjà venus et qu’il fera un rapport défavorable à mon encontre. Sans savoir plus, ils me demandent de rentrer chez moi et d’y rester.

Le 23 avril, deux gendarmes viennent à mon domicile et exercent des pressions sur ma personne, en m’accablant « vous n’avez pas à demander des documents secrets…c’est de la diffamation…arrêtez d’envoyer des courriers…vous avez foutu le bordel..ça suffit arrêtez d’écrire… ». Les gendarmes exercent de l’intimidation à mon encontre et rédigent un PVI qui ne traduit pas la réalité factuelle.

Les 25 avril, 8 août 2019, 16 octobre 2020, j’ai informé le chef d’unité M. Bruno MICHALOVSKI, gendarmerie de Dun/Meuse, des nombreux comportements délictuels du maire de Consenvoye. Malgré mes nombreuses explications et nombreux éléments fournis, il n’a été donné aucune suite. Les gendarmes ont décidé de ne pas intervenir, lors de mon appel de flagrance.

Ainsi, depuis mars 2019 jusqu’à fin 2022, il est constaté que les autorités de gendarmerie ont délibérément pris position en faveur des intérêts de M. DORMOIS et sa bande organisée, au détriment des victimes. Les gendarmes intervenants ont usé et abusé de prises illégales d’intérêt, d’intimidations, de fiches signalétiques abusives, de fausses déclarations, portant de graves préjudices envers M. Bonnenberger et les victimes de Consenvoye.

Des plaintes ont été déposées, au TJ de Verdun, restées sans suite jusqu’à ce jour.


Toutes les personnes nommées peuvent demander des modifications et/ou des rectifications, via le mail consenvoye.libre@gmail.com

A défaut, elle confirment les faits.


Témoignages des victimes



 
 
 

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